C'est la cerise sur le donut toxique – Portrait d'Hazel Johnson
À la croisée de l’écologie & de l’inclusion avec une pincée de joie et un exercice introspectif
Aujourd’hui je te propose de plonger ensemble à la rencontre d’Hazel Johnson pour explorer les liens entre social et environnemental. Le tout saupoudré d’une question sur la joie et d’un exercice introspectif.
Cher·es habitué·es du bassin : whalecome back et merci d’être ici !
Aux newbies qui ont rejoint le swimming club – soit, cette lettre numérique – ces dernières semaines : whalecome 🏊🏾♀️
Dans cet espace, on plonge ensemble de manière randomadaire à l’intersection entre la construction personnelle, l’impact et l’inclusion. Pour ce faire, on file la métaphore de la natation pour parler du monde dans lequel on essaye de trouver sa place (aka, sa ligne de nage).
Si besoin, tu peux consulter ce lexique natatoire pour t’aider à la naviguer.
Tu peux aussi :
→ Me faire appel pour lever tes problématiques édito, aligner tes valeurs à ta com’ et amplifier ta voix (indés ou structures)
→ Découvrir le programme introspectif « Explorer ses identités pour s’ancrer »
→ T’abonner à la Ploufletter si on t’a transféré cette édition 👇🏾
Sur ce, bonne séance 🐋
🎣 au programme
Édit’eau – Des échanges et de la joie.
Hazel Jonhson – Quand social et environnemental s’entrecroisent.
Ouvrir ses horizons de nage pour apprendre à se connaître – Exercice introspectif.
Swimmer cherche club de nage – Le job board de La piscine.
🐠 édit’eau
Temps de lecture : 2min30
Coucou toi ! J'espère que les jours qui rallongent adoucissent tes sorties natation de fin de journée (ou que la perspective de retour au bassin te réjouit si tu fais partie de la team pause hivernale). Avant de commencer, une question : dis moi, quelle est la dernière chose qui t’a procuré un sentiment de joie ?
Un peu de contexte ↓
Il est 10h25 ce vendredi quand je passe le pas de ma porte.
Il me reste pile cinq minutes pour : allumer mon ordi, retrouver le lien de connexion, et lancer la réunion. Techniquement, je ne suis pas encore en retard – mais je ne suis pas tout à fait à l’heure non plus. Et comme c’est moi qui anime, ce serait bien que la technologie suive.
10h30 (et quelques millisecondes), je suis connectée. OUF !
Pour se lancer à l’eau, on commence toujours par un tour de table – virtuel.
Et perso, après un mois de février bof autant côté santé qu’actu’, j’ai surtout besoin de soleil. (Littéralement ET métaphoriquement.) Alors, pour l’occasion on s’est demandé1 : « C’est quoi la dernière chose qui t’a procuré un sentiment de joie ? » Les réponses étaient tellement chouettes que j’avais envie d’ouvrir l’édition du jour sur cette note.
J’ai respectivement retenu :
🏊🏾♀️ Appartenir à des espaces de discussion entre pair·es où l’on puisse aborder diverses thématiques, se questionner, et se former... Le tout dans un environnement où on se sent à l’aise pour échanger sans craindre de jugement ou répercussion négative. (Est-ce que je parle encore de sécurité psychologique ? À toi de me dire 👀)
🏊🏾♀️ Voir que, malgré tout, certains sujets avancent sur le long court – histoire de nous donner une bouffée d’espoir face aux reculs des droits que l’on constate un peu partout.
🏊🏾♀️ Ou bien la découverte de nouvelles ressources nous permettant de partager nos engagements. Par exemple, une co-swimmer m’a fait découvrir le livre jeunesse Our Skin de Megan Madison et Jessica Ralli qui explique en toute simplicité le racisme dans la joie, la bonne humeur – et les aplats de couleur. (Et franchement, ça fait du biiiieng.)
☝🏾 Si t’as le temps et que t’es chaud·e, go faire l’exercice aussi, tu verras, ça réchauffe le cœur. (Et envoie la réponse en commentaire pour qu’on s’en inspire !)
Et, petite confession, ma réponse, c’était la dernière.
En le disant, ça m’a rappelé que j’adorais (et que sais bien faire accessoirement) le travail de mise en mots, et de passation d’histoires de vie. Que ce soit avec des portraits de personnes qui me sont inconnues – comme Hazel –, de swimmers pour la newsletter, ou en aidant mes clientes à se raconter : I love it.
Alors, si t’as un projet d’écriture ou des besoins éditos, plouf me up (enfin, écris moi). Ce sera vraiment un plaisir de voir comment collaborer !
Ceci étant dit, revenons à nous moutons de mer. Aujourd’hui on plonge à la rencontre d’Hazel Johnson (virtuellement, parce qu'elle est plus de ce bassin) pour parler des liens qu’entretiennent l’inclusion et l’écologie.
Fasten your bouée, we’re about to take off 🏊🏾♀️
Je te laisse, see you en fin d’édition.
Apolline 🐋
🤿 à l’origine était un livre…
Temps de lecture : 30 secs
Ces derniers temps je ressens le besoin de diversifier mes sources et modèles dans le secteur écologique. Pour ce faire, je me plonge dans divers ouvrages dont The intersectional environmentalist de Leah Thomas – qui a co-fondé un média du même nom.
Dans son livre, Leah :
🏊🏾♀️ Nous donne des clefs (accessibles) pour plonger dans l’histoire du mouvement de l’écologie intersectionnelle – soit le fait de lier justice sociale et environnementale ;
🏊🏾♀️ Nous présente le regards croisés d’activistes, chercheur·ses etc. engagé·es pour nourrir nos réflexions ;
🏊🏾♀️ Et nous fournit des pistes pour nous aider à se lancer à l’eau à notre tour.
Après nous avoir partagé quelques définitions en guise de pédiluve, dans le 2ème chapitre, Leah nous immerge plus en profondeur dans la notion de justice environnementale. Pour ce faire, elle nous conte rapidement deux histoires – dont celle de Hazel M. Johnson, considérée comme une des pionnier·es du mouvement.
Son histoire m’a énormément marqué et j’ai eu envie de poursuivre mon immersion.
À la fois pour découvrir son parcours plus en détail, que comprendre plus concrètement certains enjeux sociaux que soulevait l’écologie que soulèvent plusieurs. Afin d’étancher ma curiosité, j’ai arpenté sa page Wikipédia, YouTube (of plouf), des livres d’architecture urbaine, le site de son association, son biocast2, etc. (En tout, on est sur 15h de recherches et d’écriture, mais la baignade en valait la chandelle !)
Le résultat de cette excursion ? C’est cette newsletter.
Alors, here we dive 👇🏾
🦑 hazel johnson – quand social et environnemental s’entrecroisent
Temps de lecture : 8min
vivre de potluck et de jeux - « mama johnson »
Quand les Johnson emménagent dans le quartier d’Altgeld Gardens dans le sud de Chicago en 1962 – après déjà sept ans dans la ville –, c’est le coup de foudre.
Créé en 1940 pour accueillir les vétéran·es afro-américain·es de la Seconde Guerre Mondiale, le lieu recense environ 1 500 résident·es. L’ambiance est conviviale, les potlucks (repas partagés) fréquents, et les enfants se retrouvent souvent à l’extérieur pour jouer ensemble. Chez les Johnson, c’est Hazel, la mère de famille, qui orchestre ces réunions de voisinage.
D’ailleurs, sur ce point, tout le monde s’accorde : la vie de quartier, c’est elle qui la porte. (Sa réputation est telle qu’on la surnomme « Mama Johnson » dans les environs 👀)
« Mes frères et mes parents étaient si heureux : ils n’avaient jamais eu de chambre individuelle. » Cheryl Johnson sur l’emménagement à Altgeld Gardens. (Help this garden grow Ep.2)
Originaire de la Nouvelle-Orléans, Hazel – née Washington – a grandi dans un arrondissement faisant partie de « Cancer Alley », une « zone sacrifiée » de 140km en Louisiane longeant le fleuve Mississipi. On la surnomme ainsi car elle se trouve sur le trajet d’émission des 200 usines de pétrochimie implantées dans la région… Ce qui propulse les taux de pollution through the roof et affecte la santé des populations locales3.
Ces risques sanitaires, Hazel les expérimente first hand (gantée) dans sa famille.
À 12 ans, elle devient orpheline.
Cet évènement marque la première brasse d’Hazel dans le double engagement qui rythmera sa vie : pour l’écologie et contre la ségrégation immobilière.
Avec le temps, la Nouvelle-Orléans devient aussi synonyme de renouveau.
C’est dans cette même ville qu’elle rencontre son futur mari : John Johnson. Une fois marié, le couple s’installe à Chicago – pour se rapprocher de la famille du frère de John. En-fin ! Une nouvelle vie s’ouvre à Hazel.
Let it flow, let it flow 🎵 (À lire sur l’air qu’on chantonne tous·tes quand décembre pointe le bout de sa palme : Let it snow4.)
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un ver dans la pomme (du jardin)
Après sept ans de répit à Altgeld Gardens, tout bascule.
En mars 1969, le diagnostic tombe.
Son mari, John, a un cancer du poumon. Moins de trois mois plus tard, celui-ci rend l’âme à 41 ans. La nouvelle est aussi fulgurante que surprenante. Et ce d’autant plus que John ne faisait pas partie d’une population à risque et menait un mode de vie plutôt sain.
Intriguée, Hazel décide de creuser.
Les premiers résultats de son enquête sont sans appel. Elle découvre ainsi :
🏊🏾♀️ Que d’autres cas de cancer du poumon ont eu lieu dans le voisinage – touchant les adultes comme les enfants ;
🏊🏾♀️ Que ses propres enfants souffrent également de problèmes respiratoires depuis leur installation ;
🏊🏾♀️ Et que plusieurs bébés du quartier sont né·es avec des malformations congénitales …
That’s odd. Pour lever le mystère sur ces affections géographiquement ciblées, Hazel continue de se renseigner. Son objectif ? Identifier les liens que pourraient entretenir 👉🏾 écologie, ségrégation immobilière et ces problèmes de santé.
En 1970, elle constate que son quartier a le plus haut taux de cancer de la région.
Au fur et à mesure de ses recherches, Hazel découvre que le quartier d’Altgeld Gardens est une sorte de « donut toxique ». (Du moins, c’est ainsi qu’elle le surnomme.)
De fait, celui-ci a été construit sur le site d’un ancien centre de stockage de déchets toxiques. Sans compter qu’il se situe dans une zone industrielle. Et oui. Le quartier est entouré par : des usines, une station d’épuration, une cinquantaine de décharges, environ 300 réservoirs souterrains de stockages chimiques, etc.
D’où l’image du donut.
(À ce stade, tu te dis peut-être : « C’était inévitable » concernant ces complications sanitaires. Et franchement, I feel you.)
« C’était très fréquent de souffrir d’eczéma [dans le quartier]. Ça l’était tout autant d’avoir de l’asthme. Je me souviens qu’une de mes sœurs avait toujours des problèmes de peau. En fait, plusieurs de mes sœurs en avaient. Mais on a jamais fait le lien entre tous ces éléments en grandissant. […]
Pour nous, ça faisait juste partie de notre environnement. » Dr. Joy West pour Help This Garden Grow
Et, cerise sur le donut (peu ragoûtant en l’occurence) : Hazel apprend que la Chicago Housing Authority était au courant des risques au moment de signer le permis de construction du quartier.

👋🏾 Pour rappel, si tu souhaites soutenir le média, assurer sa pérennité et me permettre de dégager du temps pour mes séances piscine (aka, de mener mes recherche & rédiger), tu peux :
→ Rejoindre le Spa – l’espace de contenu additionnel de la Ploufletter.
→ Ou bien faire un don libre sur Stripe.
Pour répondre à tous ces enjeux, Hazel décide de se reposer sur le collectif.
En 1979, dix ans après la mort de son mari, elle fonde l’association People For Community Recovery .
La structure – qu’elle préside – a d’abord d’ampleur locale puis nationale, lutte contre le racisme environnemental et ses conséquences. L’objectif ? Mêler la justice sociale à celle environnement, tant pour permettre à la communauté d’Altgeld Gardens d’obtenir réparation que pour prévenir d’autres scandales.
« Elle [Hazel] allait souvent à la bibliothèque. Elle parlait aussi à beaucoup de gens qui lui donnaient des livres ou des papiers de recherche. Notre salon était devenu son bureau, elle y accumulait les documents. [..]
Et à l’époque on avait pas internet à la maison, la wifi, ou les zooms. » Cheryl Johnson sur le lancement de PCR. (Help this garden grow Ep.2)
☝🏾 En 1987, après trois relances auprès des institutions locales, PCR obtient des locaux (et le salon familial s’est enfin désencombré).
C’est notamment grâce à ses actions qu’en 1994, Bill Clinton plonge dans le sujet.
Il signe un décret visant à lutter en faveur de la justice environnementale pour les groupes américains minorisés ou à faibles revenus. (Ne me demande pas ce que ce décret est devenu, je n’ai pas poussé le zèle jusqu’à me renseigner sur sa survivance aux autres administrations et/ou son déploiement effectif 😬)
Depuis, son engagement à l’intersection des causes inspire de nombreux·ses autres activistes qui nagent dans son inspiration. (Dont Leah Thomas qui cite son parcours pour introduire la notion d’écologie intersectionnelle.)
Aujourd’hui, c’est sa fille – Cheryl Johnson – qui gère l’association People for Community Recovery. (Hazel est morte en 2011.)
Dis toi que l’héritage de Hazel est tel qu’en 2021, le sénateur Bobby Rush propose une résolution au Congrès Américain afin de renommer le mois d’Avril – historiquement « Eath Month » – en « Hazel M. Johnson Environmental Justice Month ».
Pretty impressive.
👋🏾 Cette édition résonne ? Tu connais quelqu'un que ces thématiques pourraient intéresser ? Whale, voici le lien pour faire voyager la Ploufletter 👇🏾
👀 so what?
Avant toute chose, mission accomplie ! Grâce à Hazel j’ai un meilleur aperçu de ce que signifie la justice environnementale – ou l’écologie intersectionnelle. (J’espère que toi aussi ?) Et, au cas où tu souhaiterais résumer la notion en quelques mots, voici la définition que donne Cheryl au micro de Help This Garden Grow :
« C’est le principe selon lequel toutes les communautés et les personnes ont le droit d’avoir le même degré de protection par rapport aux problèmes environnementaux et aient un accès équitable aux processus de décision pour avoir un espace sain où vivre, travailler, jouer. »
Comme beaucoup de portraits, le récit d’Hazel m’a fait comprendre une chose : on tire souvent notre engagement de nos expériences, identités et recherches propres.
Pour être tout à fait honnête, j’étais étonnée de ne jamais avoir entendu parler d’Hazel auparavant alors qu’elle a l’air de représenter LE symbole de l’écologie intersectionnelle aux US.
Je serais curieuse de savoir si tu connais des figures qui ont eu la même influence en France sur notre conception de l’écologie ?
Et, allez, je ne résiste pas à la tentation. Voici une info supplémentaire en guise de conclusion !
☝🏾 L’histoire raconte qu’elle a mentoré Barack Obama lorsqu’il était encore étudiant sur ces mêmes sujets de justice sociale x environnementale. (L’histoire raconte aussi que ce fun fact me permet de teaser une prochaine édition de newsletter, mais rien n'est moins sûr.)
🦑 ouvrir ses horizons pour apprendre à se connaître – un exercice introspectif
Temps de lecture : 1min30
« Comment ça va ?
– Et bien écoute, je ne saurais pas te répondre, j’ai fait une guidance ce matin. C’était… odd. J’arrive pas à savoir quoi en penser.
– Qu’est-ce que tu veux dire ?
– J’ai tellement l’habitude d’intellectualiser, là on était vraiment dans une discussion émotionnelle. J’arrive pas à décrire c’est bizarre. »
Cette conversation sceptique, je l’ai eue un beau soir d’octobre après avoir testé un énième truc introspectif. (Weird.)
Bon. Maintenant qu’on commence à se connaître, tu as dû remarquer que je suis beaucoup dans ma tête. La santé mentale flanche ? Je vais écrire, lire, marcher (en me prenant le bonnet de bain), aller voir ma psy…. bref, rester dans ma tête.
Ben, c’est pareil pour l’introspection et la quête identitaire. Alors l’an dernier, j’ai testé des trucs hors de ma zone de confort. Comme ici. (Et la personne avec qui j’étais a beeeaucoup ri de voir ma rationalité autant mise à l’épreuve.)
J’vais pas te mentir, les tests n’étaient pas tous concluants. Mais ça : m’a appris full sur ce qui me met à l’aise ; ouvre la conversation sur des angles morts de ma réflexion ; me montre les limites de certaines approches ; m’aide à identifier ce qui relève de l’individuel et du systémique (on en revient à l’édition sur l’adoption) ; etc.
Bref, ça m’apprend des trucs. (Et pis, parfois, c’est drôle.)
Un exemple : j’ai enfin appris à nommer certaines émotions – ou du moins, à mieux les identifier. Et ça, c’est pas mal utile.
Alors, la question que j’avais envie de te poser aujourd’hui c’est : qu’est-ce que tu n’as pas encore testé qui t’aiderait à mieux te connaître ? (Qui reste dans le domaine safe et légal hein).
Si tu veux partager je serais trop curieuse d’en savoir plus 👀
👋🏾 Et si tu as besoin d’aide pour plonger dans l’introspection, go découvrir le programme de la piscine : « Explorer ses identités pour s’ancrer ». Au menu ? 25 cartes pour lever le brouillard, reconnecter à ton histoire et trouver ta voix/e.
🛠 quelques ressources (et un event) pour aller plus loin
👉🏾 Le 25 mars à 12h30, le collectif Pepi Lyon dont je fais partie organise un webinaire : Comment favoriser la sécurité psychologique au travail et prendre soin de la santé mentale des équipes ? Rejoins-nous, ça va être chouette !
👉🏾 Le livre Pour une écologie pirate de Fatima Ouassak – askip, elle reprend certains trope de One Piece mais je connais pas le manga pour en saisir toutes les refs.
👉🏾 L’édition de la Ploufletter Être joyeux·se quand tout s’écroule.
👉🏾 Le livre Des paillettes sous le compost de Myriam Bahaffou.
👉🏾 L’édition de la newsletter sur Mikaela Loach – ainsi que son livre It’s not that radical qui est aussi une pépite de vulgarisation sur l’écologie intersectionnelle ! (Oui, j’adore son travail. Et oui, je la cite méga souvent oopsie.)
🐚 swimmer cherche club de nage – job board
Ces derniers temps, plusieurs d’entre vous m’ont parlé de votre recherche de job / de mission (on est ensemble). Comme je manque de place par ici, j’ai crée un espace dédié à ça.
Si t’es en recherche → swim par ici ← pour le remplir.
Si tu recrutes → swim par là ← pour voir les profils. Sache que les profils que tu trouveras sur la base de donnée sont à l’image de la swimming-team : engagés et divers. (Si tu souhaites te rendre visible auprès des nageur·ses et publier une annonce, envoie moi un message.)
Ça t’a plu ? Fais passer le mot ! (Ça mange pas d’algue et ça aide full.)
À très vite pour un nouveau plongeon 🐋
Apolline
Tu peux aussi nous retrouver sur instagram : https://www.instagram.com/lapiscine_media/
Sources :
→ Here’s why Congress is recognizing Hazel M. Johnson, the ‘mother of environmental justice’ – Adam Mohaney, Grist, 2021
→ Help this garden grow – Respair Production & Media, Elevate, and People for Community Recovery, 2023
→ Hazel Johnson, the mother of environmental justice, was Catholic – Brian Roewe, Earthbeat, 2021
→ États-Unis : La « Cancer Alley » de la Louisiane– Human Rights Watch, 2023
→ People for Community Recovery Archives | Chicago Public Library
→ The Intersectional Environmentalist – Leah Thomas, 2023
→ People for Community Recovery
Enfin, je comme c’est moi qui facilitait la session mais t’as capté.
Oui, ceci est encore un mot sac de piscine (aka, un mot valise) qui veut dire : un podcast biographique. (Comme les biopic, mais seulement avec le son.)
Les risques de cancer dans cette zone sont 47 fois plus élevés que l’Agence de Protection de l’Environnement des États-Unis juge acceptable. Sources : Human Rights Watch & Help that garden grow Ep.2
Bon, je l’ai chanté pendant toute ma rédaction et c’est bientôt le printemps mais, who cares?





